La rentrée des Mots crus ou épicés (textes des participants)
Une rentrée, c'est toujours à la fois excitant et angoissant (dans mon économie interne, l'un n'est malheureusement jamais bien loin de l'autre. Pas vous ?). C'est donc excitée et un peu angoissée que j'ai ouvert la saison des dînécritures mardi 15 septembre.
Nouveau lieu, nouvelle formule, nouvelles motivations (je suis gonflée à bloc !), et retrouvailles avec les habitués qui étaient tout heureux de ce nouveau départ, et simplement heureux d'être là. Deux "nouvelles" nous ont fait le plaisir de se joindre à nous, dont une qu'on avait déjà eu l'occasion de rencontrer à une lecture précédente.
Pour les hésitants, je vous conseille vraiment de venir à une soirée écouter les textes, sonder l'ambiance et pourquoi pas manger avec nous. Vous serez mis en confiance et vous viendrez écrire une prochaine fois, ou vous serez définitivement convaincu que ce n'est pas pour vous, mais au moins, vous saurez ! A moins que vous ne preniez l'habitude de faire votre voyeur, enfin, votre "écouteur" en revenant aux lectures. Selon la célèbre formule, tout est permis, rien n'est obligatoire. Faîtes donc comme nos deux "écoutants" du 15 septembre qui ont passé la porte de l'atelier au moment des lectures.
La soirée fût gaie et animée et la nourriture concoctée par Sonia gouteuse et parfumée (comme toujours, ai-je envie de dire, mais cela mérite toujours d'être salué). J'ai tellement été happée par la soirée que j'ai oublié de faire des photos quand tout fût commencé. Je ne vais pas vous faire le coup du "moment présent", mais c'est quand même un peu ça. Je regrette pourtant de ne pas pouvoir vous transmettre un peu de cette soirée en images. Pour compensez, je vous présente Jean-Jean, le chat littéraire de la boutique Robert M.Smith.
Mais nous n'avons pas que festoyé en contemplant Jean-Jean dormir du sommeil du juste, nous avons aussi écrit. Oui, quand même.
Comme j'avais du mal à quitter les vacances, nous avons joué les prolongations avec un texte de Lilly Gulliver, une québécoise dont la narratrice arpente le monde à la recherche du meilleur amant sur terre... Saint Graal au combien désirable ! Je n'en dis pas plus sur la proposition d'écriture, pour ménager le suspence pour les participants à l'atelier par mail. Oui, c'est nouveau, on peut participer par mail.
Didier, fidèle au poste, m'a transmis son texte. Je vous invite à le lire, c'est une curiosité rare. Il y est question d'une perversion fort difficile à assouvir...
Pour les ratardataires, il est toujours possible de m'envoyer votre production. je la rajouterai au post.
Prochain atelier : 13 octobre.
